26 novembre 2017 à 19:54
Les seniors 2 ruinent leurs efforts dans les dix dernières minutes
LA CLERMONTAISE et QUARANTE = 2 - 2
L’équipe : J. Gaudin, J.Tissandier, B.Douard, A. Groc, M.Béroudi, N.Hubert, D.Delgard, Q Allenne, B.Stoïca ,A. Mathieu, Q Thellier, M.Chick, N.Ayachi
Buts : Alexandre Mathieu, Didier Delgard
Quarante aura mis du cœur à l’ouvrage pendant tout le match et le partage des points est somme toute logique. Mais la réserve de La Clermontaise va sans doute regretter son manque de concentration en fin de match. Alors qu’elle menait 2-0 à 10’ de la fin, elle n’a pas su tenir ce qui aurait été un bon résultat à l‘extérieur.
Contre le vent, les clermontais entamaient un véritable marathon face une équipe qui ne lâchera rien tout au long du match et qui utilisera ses capacités physiques pour faire douter les bleus. Beaucoup de fautes de part et d’autre hachaient le jeu. A la 25’, sur un coup franc de Quentin Allenne, Alexandre Mathieu interceptait la balle pour le premier but de son équipe. Ce premier but allait en appeler un autre sur un coup franc magnifiquement tiré par Didier Delgard à hauteur des 18 mètres. A la fin de cette première période : deux buts sur coup de pied arrêté étaient donc mis à l’actif des clermontais .
Revenues en jeu, les deux équipes repartaient sur les mêmes bases d’un jeu physique qui ne permettait pas de développer de belles phases de jeu. Malgré un réel engagement, le second acte fut verrouillé et pauvre en occasions. Plus le temps passait, plus les clermontais perdaient visiblement leur confiance, et cette fébrilité allait donner des ailes à leurs adversaires. Dès lors, la rencontre partait dans tous les sens. Preuve en est, les locaux revenaient dans la bagarre quand Quarante mettait à profit une situation tarabiscotée pour revenir dans le match (2-1) Et la fougue quarantaise n’était pas totalement éteinte : sur un corner, dans un fouillis de joueurs, les locaux trouvaient encore une fois le chemin des buts. Les dernières minutes seront stressantes et le coup de sifflet du référé était vécu comme une délivrance.
Commentaires